Crique des Cascades
Vous êtes dans l’ouest et recherchez un coin sympa de baignade? rafraîchissez-vous à la crique Cascade
Pour vous y rendre, en quittant Saint-Laurent au niveau de l’intersection vers Saint-jean, roulez une quinzaine de kilomètres en direction d’Apatou. Soyez vigilant car l’entrée se situe à gauche, juste après le pont de la crique Cascade. Comme souvent, il n’y a pas d’indications.
Vous devrez alors stationner en bordure de route, emprunter un chemin en terre pouvant être boueux après un épisode pluvieux et marcher sur environ 150 mètres.
La crique cascade située dans à Apatou
Une fois arrivé, vous ne pourrez qu’être sublimé en découvrant ce cours d’eau couleur coca comme on en trouve souvent.
Fleuve Maroni
Il s’agit du plus long et du plus…
Il s’agit du plus long et du plus puissant fleuve de Guyane. Il fait office de frontière entre la Guyane et le Surinam.
Il prend sa source dans les Monts Tumuc-Humac au Surinam (sous le nom d’Itany). Il ne prend véritablement le nom de Maroni qu’à Grand-Santi, lorsqu’il se réunit avec le fleuve Tapanahoni.
Il est surnommé l’autoroute de l’ouest, car c’est par là que se font les départs de personnes et de fret de marchandises pour les communes qui se trouvent le long du Maroni.
Les transports ne font qu’à pirogue, car il existe de nombreux rapides appelés « sauts ». On dénombre environ 200 sauts et passages dangereux.
Servant de frontière, son contrôle militaire est assuré par un détachement du 9e régiment d’infanterie de marine de l’armée française, stationné à Saint-Jean-du-Maroni.
Les chutes voltaires
Beaucoup en ont entendu parler, mais combien s’y sont rendus ? Il se touve dans la commune de Saint Laurent-du-Maroni, le site Voltaire, est un ensemble de chutes d’eau, de toute beauté. Un endroit unique en Guyane, mais très difficile d’accès. Mais il vaut le déplacement.
C’est un site magnifique mais avant de découvrir les chutes il faut s’armer de patience et faire preuve d’endurance. Les chutes Voltaire sont accessible après 73km de piste. 2h de voiture à effectuer de préférence dans un 4×4 car la piste Paul Isnard est dangereuse et en mauvaise état.
Jocelyn, le guide connait les embuches du trajet et garde l’œil ouvert. Des chutes qui se méritent, puisque que ce n’est que la première étape du voyage.
Nous nous engageons dans un sentier long de 3 km, à travers la forêt amazonienne. Une atmosphère humide, un éco système riche
Jocelyn connait cette forêt comme sa poche mais aussi chacune de ses ressource. Une nature sauvage qui ne se dévoile pas. Mais elle nous permet de l’entendre. Le chant du payo payo, un petit oiseau qui se trouve uniquement dans les forêts d’Amérique du sud.
L’expédition s’avère périlleuse par moment. On faut jouer à Indiana Jones, sur un site mal entretenu qui a fait déjà plusieurs blessés.
Et puis… c’est la découverte. Un écrin de paradis en pleine forêt et une eau claire qui nous tend les bras.