Depuis la rentrée, les services des affaires scolaires, et l’adjointe déléguée ont rencontré, les responsables d’écoles et les enseignants. S’il y a des retards dans la livraison d’un des 5 lots des marchés, ils ne sont nullement imputables à la ville.
En effet, chacune des 25 écoles que compte Saint-Laurent du Maroni dispose d’une ligne budgétaire dont le montant varie selon son effectif. Ces commandes sont ensuite englobées dans un marché public qui se décline en 5 lots (papeterie, manuel, didacticiel…). A l’issue des procédures de mise en concurrence, les prestataires retenus s’engagent à nous livrer conformément au cahier des charges, et ce n’est qu’après réception des commandes que nous pouvons émettre les mandats de règlement pour « service fait ».
En ce qui concerne l’école de la Charbonnière qui bénéficie d’une ligne de crédit de 8 200 € cette année :
- 1 786 € de matériels ont été livrés à ce jour,
- 930 € de fournitures didacticiels (puzzle, jeu..) seront livrées ce lundi 6 décembre 2010.
- et plus de 5 000 € de manuels scolaires seront livrés au début du mois de janvier.
Le retard de livraison des manuels scolaires et des didacticiels s’explique dans sa globalité, selon nos fournisseurs, par une rupture de stocks au niveau des éditeurs, ce qui a engendré un effet « boule de neige » entrainant dans son sillage, nos fournisseurs, notre collectivité, les écoles, et en bout de chaine, les enfants.
La commune est aussi affectée, par ce désagrément, que ses partenaires: parents et enseignants.
Je constate, et cela est bien dommage, que l’article édité par France Guyane sur les fournitures scolaires non-livrées à ce jour pour l’école de la Charbonnière, a été traité avec légèreté, puisque nous n’avons pas été approchés afin d’apporter des précisions sur cette affaire. La rubrique qui s’intitule « A pa mo ki di » qui s’apparente parfois à des « rumeurs ou propos fantasques d’anonymes », et non à des «faits vérifiés auprès de personnes identifiables», ne dédouane nullement France Guyane de sa responsabilité sur les conséquences morales préjudiciables que cet article génère, et l’éloigne davantage de sa mission « de communiquer des informations fiables» auprès du lectorat guyanais en général, et du lectorat saint-laurentais dans ce cas-ci.
Léon BERTRAND,
Maire de Saint-Laurent du Maroni
En effet, chacune des 25 écoles que compte Saint-Laurent du Maroni dispose d’une ligne budgétaire dont le montant varie selon son effectif. Ces commandes sont ensuite englobées dans un marché public qui se décline en 5 lots (papeterie, manuel, didacticiel…). A l’issue des procédures de mise en concurrence, les prestataires retenus s’engagent à nous livrer conformément au cahier des charges, et ce n’est qu’après réception des commandes que nous pouvons émettre les mandats de règlement pour « service fait ».
En ce qui concerne l’école de la Charbonnière qui bénéficie d’une ligne de crédit de 8 200 € cette année :
- 1 786 € de matériels ont été livrés à ce jour,
- 930 € de fournitures didacticiels (puzzle, jeu..) seront livrées ce lundi 6 décembre 2010.
- et plus de 5 000 € de manuels scolaires seront livrés au début du mois de janvier.
Le retard de livraison des manuels scolaires et des didacticiels s’explique dans sa globalité, selon nos fournisseurs, par une rupture de stocks au niveau des éditeurs, ce qui a engendré un effet « boule de neige » entrainant dans son sillage, nos fournisseurs, notre collectivité, les écoles, et en bout de chaine, les enfants.
La commune est aussi affectée, par ce désagrément, que ses partenaires: parents et enseignants.
Je constate, et cela est bien dommage, que l’article édité par France Guyane sur les fournitures scolaires non-livrées à ce jour pour l’école de la Charbonnière, a été traité avec légèreté, puisque nous n’avons pas été approchés afin d’apporter des précisions sur cette affaire. La rubrique qui s’intitule « A pa mo ki di » qui s’apparente parfois à des « rumeurs ou propos fantasques d’anonymes », et non à des «faits vérifiés auprès de personnes identifiables», ne dédouane nullement France Guyane de sa responsabilité sur les conséquences morales préjudiciables que cet article génère, et l’éloigne davantage de sa mission « de communiquer des informations fiables» auprès du lectorat guyanais en général, et du lectorat saint-laurentais dans ce cas-ci.
Léon BERTRAND,
Maire de Saint-Laurent du Maroni