
A quelques mois du démarrage de la saison carnavalesques, Monsieur Vincent BERTON, Directeur de Cabinet de Préfecture, attire l’attention sur les demandes répétées de délivrance de visas à la frontière.
Les demandes lui parviennent afin d’obtenir un visa pour des ressortissants étrangers (artistes, sportifs…) souhaitant séjourner en Guyane, mais dépourvu de visa régulier. Ces demandes concernent des volumes de voyageurs toujours plus importants, venant participer à des événements souvent prévus de longue date (compétition sportive, carnaval, festival).
La législation française, à laquelle il ne peut déroger, oblige le voyageur à solliciter un visa à l’avance. La délivrance à la frontière étant limitée à des cas marginaux remplissant des conditions restrictives. Par ailleurs, il faut également justifier de ressources suffisantes, d’un lieu de résidence et d’une couverture médicale.
En outre, la circulaire DPM/DM12/2005/194 du 25 avril 2005 relative à la délivrance d’autorisations provisoires de travail, précise que les demandes doivent être adressées à la Direction du Travail, au plus tard un mois avant la date des prestations, afin d’assurer un examen du dossier dans de bonnes conditions.
Face à la multiplication des demandes et des abus, il vous est demandé de vous organiser en conséquence pour respecter les prescriptions légales, dans un département où l’immigration clandestine et le travail non-déclaré constituent de véritables fléaux.
Les demandes lui parviennent afin d’obtenir un visa pour des ressortissants étrangers (artistes, sportifs…) souhaitant séjourner en Guyane, mais dépourvu de visa régulier. Ces demandes concernent des volumes de voyageurs toujours plus importants, venant participer à des événements souvent prévus de longue date (compétition sportive, carnaval, festival).
La législation française, à laquelle il ne peut déroger, oblige le voyageur à solliciter un visa à l’avance. La délivrance à la frontière étant limitée à des cas marginaux remplissant des conditions restrictives. Par ailleurs, il faut également justifier de ressources suffisantes, d’un lieu de résidence et d’une couverture médicale.
En outre, la circulaire DPM/DM12/2005/194 du 25 avril 2005 relative à la délivrance d’autorisations provisoires de travail, précise que les demandes doivent être adressées à la Direction du Travail, au plus tard un mois avant la date des prestations, afin d’assurer un examen du dossier dans de bonnes conditions.
Face à la multiplication des demandes et des abus, il vous est demandé de vous organiser en conséquence pour respecter les prescriptions légales, dans un département où l’immigration clandestine et le travail non-déclaré constituent de véritables fléaux.